MOULIN DU MONT LAUZIN, Cuvée Tannat, Olivier Malrieu =>Tarif nous consulter

Angèle Macchion et Olivier Malrieu

À l'écart des AOC, la mère et le fils, très complémentaires, mènent leur aventure viticole avec beaucoup d'intelligence et d'inspiration. Les meilleurs sommeliers apprécient... Petit écart de conduite hors de l’appellation Fronton...
Direction Le Burgaud, en Haute-Garonne, et le domaine du Moulin du Mont Lauzin, sur faire géographique de l’IGP Comté tolosan. Pas un voisin vigneron à l’horizon de ces 4,80 hectares de vignes plantés d’un seul tenant en 1979-80 au milieu des bois. Hors des sentiers battus, cette propriété l’est par son isolement sur la plus haute et la plus ancienne
des terrasses alluviales de la Garonne, mais aussi par son histoire. Professeur de mathématiques, Angèle Macchion, par ailleurs fille d’ouvriers viticoles italiens, opère un retour à la nature dans les années 70. Tandis que d’autres repartent vite à la ville, elle reste enracinée à sa campagne, et crée petit à petit son domaine. Aujourd’hui, dame charmante de 80 et quelques printemps, elle ne laisse à personne le
soin de piloter le travail dans ses parcelles, pied à pied, avec l’obsession de ne jamais stresser la vigne. Son fils Olivier, qui mène aussi une carrière de professeur, est complètement impliqué à ses côtés et s’occupe particulièrement des vinifications. N’allez pas imaginer un domaine financé par un quelconque mécène. Pour autant, Angèle et Olivier ne transigent pas sur la quête de qualité - rien n’est laissé au hasard, et surtout pas la sélection de barriques, choisies pour qu’elles boisent le moins possible —, sur leur liberté à pouvoir produire les vins qu’ils veulent, à les vendre seulement quand ils les estiment prêts. Dans leur chai attenant à la
vieille maison d’habitation, ils se débrouillent par exemple pour créer la gravité et ainsi ne pas utiliser de pompes qui bousculent la vendange et les vins - à l’aide de palans.
Pas de budget sans limite mais beaucoup de malice et de débrouillardise. Et toujours expérimenter, par exemple la conservation dans de grands contenants en verre... L’idée? «Faire des vins d’excellence pour chaque cépage»... Et ça marche, vu la haute tenue des cuvées dégustées, dont
certaines figurent à la carte de grandes tables étoilées.

Pierre Gagnaire 3 étoiles Michelin à  Paris – sommelier Patrick Borras

Gilles Goujon, L’Auberge du Vieux Puits,  3 étoiles Michelin à Fontjoncouse

Michel Sarran, 2 étoiles Michelin,àToulouse – sommelier Pierre Colin .

Bernard Bach, au Puits Saint Jacques,2 étoiles Michelin à Pujaudran -sommelier Nathanaël Pietre-Bossenec .

Franck Putelat, au restaurant Le Parc , 2 étoiles Michelin à Carcassonne .

Frank Renimel, à En Marge, 1 étoile Michelin , à Aureville aux portes de Toulouse –  sommelier Benoit Fedou.

Sylvain Joffre, en Pleine Nature, 1 étoile Michelin à Quint-Fonsegrive -sommelier Alexandre Thellier

Jérémy Morin , au restaurant l’aparté 1 étoile Michelin à Montrabé .

Mariottat, 1 étoile Michelin à Agen.

Christophe Grosjean, au restaurant l’Océan,   1 étoile Michelin, Le Grand Hotel  à St jean de-Luz .

Chez Gérard et Catherine Bossé restaurant une île 1étoile Michelin Angers

Christian Constant, qui officie au  Bibent, Place du Capitole à Toulouse

Gratien Castro,  Brasserie de l’Opéra, Place du Capitole à Toulouse

Philippe Ducos , au restaurant Place Mage , Toulouse

Hamid Miss, au restaurant  La Pente Douce, rue de la Concorde , Toulouse .